Didier Vieau, CSENPC, UMR Inserm UMR-S1172, « Alzheimer & Tauopathies », Université de Lille
Depuis très longtemps les savants se querellent sur l’importance respective de l’inné et de l’acquis dans l’établissement du phénotype (l’ensemble des traits observables d’un être vivant). Quelle est la contribution du génome (ensemble du matériel génétique d’un organisme) ou de l’environnement dans sa globalité (milieu intérieur, bactéries, virus, relations sociales, nutrition, polluants, toxiques, climat, etc…) sur ce que nous sommes ?